Sorties-visites

Sortie du 15 janvier 2008
Les Sables d'Olonne.

Le Museum du coquillage aux Sables d'Olonne.

C’est grâce à Janine, la régionale de l’étape, que nous avions mis au point cette sortie aux Sables d’Olonne. La pluie et le vent particulièrement fort nous ont obligés à modifier le programme prévu.

Nous avons commencé par le Muséum du coquillage, là nous étions à l’abri, pas de problèmes. Il s’agit d’une collection privée, provenant essentiellement du ramassage personnel de Monsieur Livernette.

Après une visite libre qui nous a permis d’observer les 45 000 spécimens présentés, Madame Livernette est venue compléter nos observations par des commentaires plus approfondis sur certaines espèces.

 

La visite s'est terminée par un passage à la boutique, où tout était soldé à 50%, ce qui a incité un certain nombre d’entre nous à multiplier les emplettes.

Le restaurant du Village de vacances Le Roc Saint Jean
à Château d'Olonne.
Nous nous sommes ensuite rendus au restaurant où nous avons pu déguster des coquilles bretonnes, de délicieux filets de rouget sauce corail. Le repas s’est agréablement terminé par la traditionnelle galette des rois.

Le Musée des traditions populaires à Olonne sur Mer.

Après déjeuner, le temps étant toujours aussi mauvais, la découverte de l’estran s’est avérée impossible. L’office de tourisme nous a proposé en remplacement, la visite du Musée des Traditions Populaires.

Cette visite, très bien commentée a été très appréciée. Le musée est tenu par une association de bénévoles. Madame NAVEL nous a fait découvrir à travers les différentes salles : activités du bord de mer, artisanat traditionnel, école, documents et objets de la guerre 1914-1918, intérieur d’une habitation ainsi que les costumes et coiffes, la vie au Pays des Olonnes au début du XX ème siècle.

 

Nous avons du abandonner la promenade dans l’Ile Penotte ; à retenir pour une prochaine fois.
Vers 16h30, nous avons pris le chemin du retour. Le vent s’étant un peu apaisé, le pont de Noirmoutier n’était pas fermé, chacun à donc pu rentrer chez soi tranquilement.