Il faisait froid pour la saison, un brouillard GIVRANT rendait la nature magnifique.
Nous étions en décembre. La fanfare fêtait la SAINTE CÉCILE.
Je stationnais ma voiture près de la FONTAINES et je vis un grand hôtel.
J’entre alors dans ce BEAULIEU (sous la Roche).
– Bonjour, dis-je, il fait CHAUCHÉ vous !
– Mettez-vous à l’AIZENAY ce pas vous qui venez de téléphoner ? Vous n’aviez pas réservé ? Vous auriez dû le (La) FERRIÈRE.
La patronne, une brune aux lèvres (Les) ÉPESSES porte un (Le) TABLIER bleu, elle ressemble à l’actrice américaine SIGOURNAIS Weaver. Son fils tient le bar, c’est un grand BENET un peu SOULLANS tellement il parle.
Sa MERVENT les journaux, quant à sa (La) BRUFFIÈRE et arrogante, elle fait la L’OIE dans son établissement.
A l’ANGLE de la salle, un client surnommé Giro, s’installe. La patronne lui ordonne :
– Asseyez-vous, prenez la CHAIZE GIRAUD.
Après avoir LUÇON journal il commanda un rosé de PISSOTTE.
Sur les coups de 20 heures, un gamin prénommé (Le) BERNARD entra, il avait sûrement joué dans les buissons d’(L’) ÉPINE car son pantalon était en loques, les jambes étaient déchirées et le FONTENAY (Le Comte) grâce à quelques pièces de toutes les couleurs, ses chaussures à BOUFFÉRÉ claquaient le sol quand il marchait, il était enrhumé et faisait beaucoup de bruit en se MOUCHAMPS.
Il n’avait pourtant pas l’air malade car il CHANTONNAY le dernier air à la mode.
Le lendemain, je quittais ma CHAMBRETAUD vers six heures, la patronne me salua et me dit :
– Vous avez les traits THIRÉ ce matin, prenez un (Le) PERRIER.
– Vous NALLIERS quand même pas partir sans payer ?
Je NESMY que quelques minutes pour faire ma valise et je continuais ma route vers de nouvelles “auberges de Vendée”.